L’après licenciement : prendre un chemin vers de nouvelles opportunités

T’es remercié !?

Tu as rendez-vous…

D’un petit rendez-vous rapidement programmé, te voilà sur la sellette. La nouvelle est tombée comme un couperet sur ta tête : tu es viré !

Après des résultats largement salués, arrive le temps des remises en questions : sur tes objectifs, ton profil, ta motivation, ton esprit corporate.

A les entendre, ta compétence est réduite à une peau de chagrin ; ton savoir faire d’expérience, un simple faire savoir. Le mystère qui entoure cette décision de licenciement t’interpelle : celui qui te l’annonce se cache derrière un décideur ou un collectif qui n’a pas de nom : ce Voldemort sera démasqué au fil du temps, lorsque les langues se seront déliées !

Management model…

La méthode est violente, de provenance anglo-saxonne parait-il. De toutes les modes managériales, la French Fashion aurait pu se passer de celle là.  L’opération « washing » va commencer : ton nom disparaît des strates hiérarchiques de l’organigramme et des en têtes de documents. Persona non grata, les invitations aux groupes de travail n’atterrissent plus dans ta boîte mail. Ce que tu avais mis tant d’années à construire disparaît comme une bulle de savon.  Mais on a beau « washer », il est bien difficile d’effacer ton empreinte : les relations tissées sont comme des fils de soie dont la finesse résiste à l’usure du temps. Les plus précieuses noueront d’autres liens hors du cadre du métier.

Te voilà à la porte de Pôle Emploi avec une valise pleine de souvenirs qu’il te faudra trier pour t’alléger :« qui veut voyager loin ménage sa monture ». Car tu es en « partance ». D’autres visages, d’autres paysages : le monde de l’inconnu et de l’incertitude. Un programme pour lequel tu n’avais pas signé…

L’heure des choix…

Tu es pris dans l’étau de sentiments partagés : peur, colère, ressentiment. Pas de panique.  Tu chemines sur la courbe de deuil, et c’est normal.  De sa durée et de sa profondeur il n’existe ni loi, ni moyenne. Tout dépendra de toi.

Car là, tu es face à des choix : celui de réclamer tes droits si tu en as. Fais le si cela t’aide à te reconstruire. Celui de sombrer, coulé par ton moral de plomb. Va consulter pour te faire aider. Celui de « faire genre ». Dépasse ton déni et relève le défi.

Tu peux donc rester accroché, endeuillé pour longtemps ou t’inscrire à la communauté des talents en devenir, et là, tu rebondis.

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Au boulot…

Tu travailles sur toi, ton égo égratigné, ton identité vidée, ton projet professionnel écorné. Écoute tes mentors qui te connecteront à tes ressources. Identifie ces valeurs qui sont tes principes fondateurs. De la question du « pourquoi » qui t’invite à un diagnostic, tu passes peu à peu au « pour quoi », porteur de sens. D’une VAE –Validation des Acquis de l’Expérience- qui valide ton parcours à la formation qui te professionnalise, renforce tes compétences et prend conscience de tes capacités.

Dépoussières ton CV qui a pris des rides au fil des années, questionne ta valeur ajoutée  pour donner de la consistance à ta candidature, explore ces métiers novateurs, découvre différentes méthodes de recrutement, sollicite ton réseau. Au fil des entretiens tu comprendras qu’abandonner ton titre, ta rémunération, tes avantages est parfois un mal nécessaire à ton bien être ou à ta réinsertion économique.  A travers ce travail d’introspection et de confrontation émerge cette nouvelle identité professionnelle qui te donne confiance et rassure le recruteur. Le self marketing t’aidera à construire cette nouvelle identité.

Peu à peu, des perspectives insoupçonnées se font jour lors de nouvelles rencontres. Des opportunités ou des coïncidences, à chacun sa perception… jusqu’à la signature ! Prends le temps de te féliciter avant de réinvestir ce nouveau boulot…